La Boîte à Merveilles est un roman autobiographique de l'écrivain marocain Ahmed Sefrioui, publié en 1954. Le narrateur décrit les préparations des femmes de la maison pour la fête, et comment cette dernière s’est déroulée. Toute la petite famille ira donc au souk. La mémoire de Sidi Mohammed devient plus forte, il apprend ses lignes sans difficultés. Une certaine atmosphère de joie et de beauté enveloppe le msid et tout le quartier. Il passe la matinée à l’école coranique jusqu’à l’heure du déjeuner, le fqih, un maître sévère et sans pitié, lui fait signe de partir. L’après-midi serait consacré à la récitation de tous les chapitres appris depuis le premier jour de chaque élève au msid. Les deux femmes s’apprêtent pour aller visiter le voyant aveugle Sidi El Arafi. Celle-ci le récompense par une poignée de grains de sésame. Chapitre I : Le narrateur adulte fait état de la solitude qui semble être son lot quotidien depuis l'âge de six ans. Le Fqih explique ses projets pour la fête d’Achoura. Se sentant seul et triste, le narrateur recourt à sa Boîte à Merveilles où toutes ses figures de rêve l’attendent. il annonce aux élèves comment ils devraient se préparer pour Achoura. [p-p: 40-55], Sidi Mohammed et sa mère, dans les premiers jours du printemps, rendent visite à Lalla Aïcha qui habite dans l’impasse de Zankat Hajjama. Il parle aussi de son attente de grandir pour faire ce qu’il voudrait. Sidi Mohammed et sa mère rendent visite à Lalla Aîcha qui habite une maison simple mais où il fait bon vivre. [p-p: 121-150], C’est le retour de la monotonie après les journées agitées d’Achoura. La boîte à merveilles offre une grande place à la dimension ethnographique. Libellés : 1ere annee bac, bac, bac francais, Figure de style, La boite à merveille résumé chapitre 5, oeuvre, resume, résumé chapitre 5, résumés de tous les chapitres « Precedant Suivant » Accueil Libellés : 1ere annee bac, bac, bac français, boîte à merveille, La boite à merveille résumé chapitre 11, resume, résumé chapitre 11, résumés de tous les chapitres « Precedant Suivant » Accueil La nuit de l’enfant était peuplée de cauchemar. Après être passés par des pavés mal ajustés, un couloir sombre, des escaliers… ils finissent par trouver la chambre du voyant. Le lendemain, au retour du msid, l’enfant en trouve une accrochée au mur, sa joie est partagée avec tante Kanza, la chouafa, qui monte pour admirer la nouvelle acquisition. Par un va et vient entre le point de vue de l'auteur-narrateur adulte et de l'auteur-narrateur enfant, le lecteur entre dans le monde solitaire du narrateur qui malgré quelques timides amitiés ne semble compter comme véritable ami que la boite à merveilles. Au souk, le père se dispute avec un dellal. La littérature maghrébine d’expression française a vu le jour au lendemain de la seconde guerre mondiale, dans les pays du Maghreb. Sidi Mohamed se fait griffer par un matou dans la cour de la Zaouia, il bénéficie d’un repos de 2 jours de convalescence : il assiste au cérémonial des matinées, reçoit 2 beignets de Fatma Bziouya et un cabochon de verre de Rahma). De retour chez lui, Sidi Mohamed se dispute avec Zineb, ce qui met en colère sa mère. Partager. Lalla Zoubida rend visite à son amie Lalla Aicha dont le mari s’est remarié. La boîte à merveilles présente une séquence sur la vie d’enfance d’Ahmed Sefrioui. Après un bon moment, un dialogue commence enfin entre les femmes, il sera interrompu par une voix d’homme, mais ce n’est que Salama, la marieuse, c’est la surprise dont l’hôtesse a parlé la veille en invitant son amie Zoubida, elle a beacoup de nouvelles à raconter. La mère ne cesse d’intervenir pour rectifier. La boîte à merveilles = boîte à rêves = remède à sa solitude. La boîte à merveilles - Résumé des événements, La Boite à Merveilles (Roman autobiographique), Français: 1er BAC Sciences Expérimentales, AlloSchool La Boîte à merveilles, roman autobiographique d'Ahmed Sefrioui ancré* dans le Maroc des années cinquante, dans la médina de Fès plus précisément, raconte l'enfance de Sidi Mohammed, un petit garçon de six ans constamment animé* par le désir d'apprendre et … La boîte à merveilles est un roman autobiographique dans lequel l’auteur raconte une tranche de sa vie à savoir l’enfance. La nuit de l’enfant était peuplée de cauchemar. Le narrateur rapporte le récit de Salama, comment Moulay Larbi l’avait chargée de lui trouver une seconde épouse. Il a exercé plusieurs emplois : interprète journaliste pour le quotidien nationaliste “Action du peuple”; sous directeur du musée Al Batha à Fès puis fonctionnaire aux ministères de la culture , de l’éducation nationale et du tourisme à Rabat. Lalla Zoubida a failli oublier la satinette que lui avait demandée Kanza en partant de chez elle, son fils lui rappelle cette commande. ... vient lui rendre visite et réussit à la convaincre de visiter Sidi Boughaleb pour conjurer (=écarter en priant) le mauvais œil qui a frappé son fils. Chemin faisant, la mère rencontre une voisine de Lalla Aïcha et entame avec elle une longue conversation sur l’affaire Moulay Larbi. C’est le moment ou l’auteur adulte commente, explique ou donne des informations sur un personnage ou un événement. “La boîte à merveilles” est un roman autobiographique d’Ahmed Sefrioui, publié en 1954 et qui appartient à la littérature marocaine d’expression française. Le jour de l’Achoura : Sidi Mohamed met ses vêtements de fête et part au Msid. Background. [p-p: 173-198], Les deux femmes et l’enfant arrivent chez Sidi El Arafi grâce aux renseignements des gens de son quartier. La symphonie des trois saisons... Premier roman de Sefrioui, La boîte à merveille, une suite de scènes et de tableaux, raconte la vie quotidienne d’une famille populaire dans la vieille ville de Fès. Lalla Zoubida rend visite à Lalla Aicha, celle-ci lui réserve une surprise. Solidarité des voisines. Après le déjeuner de fête, Lalla Aicha fait à la famille une visite surprise. Le soir, Sidi Mohammed sort sa Boîte à Merveilles, mais ses objets refusent de lui offrir l’enchantement désiré, il se met à pleurer. Il lui annonce qu’il avait perdu tout son capital dans la cohue des enchères aux haïks, il décide alors de voyager pour travailler comme moissonneur aux environs de Fès. Des cris et des hurlements annoncent la mort de Sidi Mohamed Ben Tahar, le coiffeur du quartier. Le fqih ne peut résister au sommeil, il se réveille de temps à autre et distribue au hasard des coups de baguette. Le narrateur fait la description du chemin vers la maison de Lalla Aïcha en racontant la visite de Sidi Ahmed Tijani, la scène du marchand coléreux, et le dialogue à propos du bureau des chrétiens. Sidi mohamed profite de l'occasion pour jouer avec les enfants des voisins . Il décrit ensuite les rituels des cortèges d’enterrement. Rahma fait le récit du couple de Khadija, la jeune épouse avec son vieux mari l’oncle Othman. Si Abdeslam arrive plus tôt que d’habitude, la mère prépare la table pour le diner, mais personne ne mange. Avec les premiers jours de chaleur, certains changements de disposition des meubles ont lieu à la maison, et, les journées devenant plus longues, le msid est installé dans un sanctuaire deux pas plus loin, quêtant de la fraîcheur. L’enfant, quant à lui, a droit à une longue trompette. Arrive ensuite le tour de la mère: elle sort une perle noire à dessins multicolores. Du pronom «je» le narrateur passe à employer le pronom collectif «nous» pour parler aussi de ses parents, il présente d’abord la Chouafa en évoquant ses fêtes, elle occupait le rez-de-chaussée, puis les autres voisins: Driss El Aouad, sa femme Rahma, leur fille Zineb, et Fatma Bziouya. Un enfant frappe à la porte, c’est Allal El Yacoubi, un élève de l’école coranique, le fqih l’a envoyé prendre des nouvelles de Sidi Mohammed, ce dernier se cache derrière le lit, pris de panique. La femme souffrante s’apprête à sortir, le narrateur nous présente une description de ce qu’il garde encore sur l’ancienne voisine. [p-p: 99-120], Deux jours avant Achoura, les femmes s’achètent des tambourins et des bendirs, le bruit de ces instruments accompagné de chant berce le quartier. Driss El Aoud annonce au père l edivorce de Moulay Larbi avec la fille du coiffeur. Lalla Zoubida décide d’emmener l’enfant chaque semaine prier sous la coupole d’un Saint. Face à la pâleur de l’enfant (que la mère explique par le mauvais œil, alors qu’en réalité c’était à cause de la peur de la baguette du cognassier s’il ne récite pas bien l’après-midi) et la maladie de la mère, Lalla Aïcha trouve un autre conseil: aller à Sidi Ali Boughaleb, le mausolée. Le récit de Salama reprend, elle parle des difficultés de Moulay Larbi et de ses problèmes avec sa jeune épouse et sa mère. Il explique ensuite pourquoi il n’avait pas d’amis. Finalement, le narrateur nous relate le drame de la lessive entre sa mère et Rahma, la voisine, un bien long récit qui se clôt sur l’évanouissement du narrateur. Ainsi, les auteurs se servent du français qui devient la deuxième langue officielle de tout le Maghreb. Ensuite, la scène de la femme étrangère qui a grondé Sidi Mohammed et qui a failli provoquer une dispute. Pour les élèves, c’est une occasion pour éviter les leçons et les récitations. RÉSUMÉ. Le narrateur à l’âge adulte, se souvient de son enfance. Le lendemain, l’enfant ne va pas au msid. Il décrit le début d’une journée ordinaire dans la maison de la voyante, où la vie commence à flâner rapidement le matin, de chambre en chambre. Sidi Mohamed joue avec les enfants de la maison à la mariée. Il est obligé de quitter sa famille pour travailler comme moissonneur aux environs de Fès. Sidi Mohamed joue à la trompette. Lalla Zoubida la console comme une grande sœur. it was long thought to be the first Moroccan novel written in the French language. Description du voyage vers le sanctuaire de Sidi Ali Boughaleb. Le lendemain, l’enfant et son père vont au souk pour acheter des jouets et passer chez le coiffeur Si Abderrahman que Sidi Mohammed n’aime pas. Pour tromper l’ennui causé par l’affreuse attente du retour de sa mère, le garçon vide sa Boite à Merveilles; mais les objets qu’elle contient lui inspirent le chagrin. Le narrateur décrit la maison de l’ancienne voisine. Le père à son tour se charge de raconter les histoires d’Abdellah l’épicier. Le but est de faire plaisir au lecteur européen curieux de connaître le secret de la vie au Maghreb, mais surtout de préserver l’identité culturelle par le biais de l’évocation des images authentiques : ( montrer que la tradition est toujours vivante et que rien ne peut l’estomper). Le narrateur parle aussi de Driss le teigneux, l’ouvrier qui vient le matin pour acheter les provisions, et au milieu du jour chercher le déjeuner de son patron (le père du narrateur). Il compte vendre les bracelets (que la mère n’a pas aimés, croyant qu’ils sont la cause du malheur qui entre dans leur maison) pour laisser de l’argent à sa famille pendant son absence qui durera un mois. Hammoussa, l’élève le plus petit de taille de l’école, vient chercher Sidi Mohammed, le fqih a besoin de lui. Il remonte à son enfance et cède la parole au narrateur enfant, Sidi Mohammed. A trois heures du matin, Lalla Zoubida réveille son fils, difficilement, il quitte son lit pour aller fêter Achoura avec les camarades au msid. Le narrateur adulte souffre d’insomnie et fait état de sa solitude  ( motifs de l’écriture autobiographique). Le père annonce à sa famille qu’il a perdu son capital au souk des enchères aux haiks. Le résumé : La boîte à merveilles présente une séquence sur la vie d’enfance d’Ahmed Sefrioui. Lalla Aïcha vient chez la mère pour une visite rapide, elle l’invite pour lui rendre visite le lendemain car elle lui réserve une surprise ! Le héros raconte ensuite le récit de son jeu avec les enfants de la maison, avant de présenter la description des voisines de Lalla Zoubida. Quand elle revient avec le plateau pour le thé, elle trouve que le père se prépare déjà pour aller dormir. La boîte à merveilles fait partie des œuvres programmées pour la première année du baccalauréat et qui font l’objet de l’examen régional en fin d’année. Le Msid devenu agréable et accueillant respire la propreté. Rentré chez lui, Sidi Mohamed apporte un brin de menthe à tante Kenza. [p-p: 151-172], L’enfant, souffrant de fièvre, ne se réveille que le lendemain soir, et malgré sa faim il ne peut rien manger. Grâce à la boite à merveilles, Sidi Mohamd s’échappe d’un monde de contraintes et d’incompréhension pour inventer un monde de rêve et de mystère. Les premiers jours de printemps, Lalla Zoubida et son fils rendent visite à lalla Aicha. Après une nouvelle dispute avec Zineb, l’enfant plonge dans ses rêveries, sa mère l’en repêche pour manger. [p-p: 199-221], Quand l’enfant et sa mère sont arrivés chez Lalla Aïcha, cette dernière était occupée de chasser les mouches de sa chambre. La disparition de Zineb et sa retrouvaille étaient l’occasion d’organiser un repas de charité en guise de remerciements à dieu. L’enfant suit attentivement la conversation des deux femmes qui parlent des voisines et de bien d'autres sujets. Les voisines proposent chacune un remède. [p-p: 56-77], Ce mercredi, la baguette n’est plus qu’un objet pour occuper les doigts du fqih! Driss El Aouad arrive de son atelier, il monte saluer le père, il apporte une nouvelle, le divorce entre Moulay Larbi et la fille du coiffeur a été prononcé la veille. Toute autobiographie doit être écrite à la première personne et suppose l’écriture de soi. L'œuvre s’ouvre sur un passage dans lequel le narrateur adulte décrit son présent où un sentiment de solitude, très ancien, le prive de dormir le soir quand les autres dorment. La mère du narrateur hésite un peu, puis finit par accepter sous l’insistance de la visiteuse. Salama, la marieuse professionnelle, raconte son rôle qu’elle a eu dans le remariage de Moulay Larbi, elle affirme qu’il a des ennuis avec sa nouvelle épouse. L’homme aveugle conseille à Lalla Zoubida de visiter les sanctuaires des Saints de Dieu qui veillent sur la ville. Avec l’arrivée de la chaleur, le Msid est déménagé dans un petit sanctuaire ce qui améliore l’aptitude d’apprentissage de Sidi Mohamed. Epris par la musique des syllabes du dialogue des femmes, l’enfant oublie le verre qu’il tenait à la main, le thé se répand sur ses genoux. Résumé général de l'œuvre «La boîte à merveilles» 3: Ahmed Sefrioui, ou Sidi Mohammed, évoque son enfance passée à l'ancienne Médina de Fes. Le soir, bercé par les bruits de l’orage le son d’une flûte mystérieuse, il dort avec peine. Lalla Zoubida reçoit la visite d’un messager de la part de son mari. Après la prière de l’Aasser, le père vient chercher sa femme et son fils pour partir, Fatma Bziouya les accompagne. Ceci est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre. Le Msid, un espace étouffant ( le mardi est un jour néfaste pour les élèves du Msid, car ils doivent réciter les quelques chapitres du Coran qu’ils avaient appris). [p-p: 20-39], Après les deux jours et demi de repos, Sidi Mohammed revient au msid vendredi après la prière de midi. Les femmes, pour manifester leur joie, poussent des you-you et formulent des vœux. Résumé de la boîte à merveilles Chapitre 4 : Les premiers jours de printemps, Lalla Zoubida et son fils rendent visite à lalla Aicha. Le narrateur évoque également le Msid, le fqih, avant de parler du bain maure, qu’il n’aime toujours pas. Une agitation fébrile* gagne tous les habitants de Dar Chouafa ainsi que ceux des quartiers voisins à l'occasion de Achoura. Rentré chez lui, le narrateur trouve sa mère absente en visite chez Lalla Aicha ( inquiétude de l’enfant). Tandis que les bambins de l’école coranique aiment jouer, imiter, grignoter…), La séance du bain maure ( séance infernale). Chez Fatma Bziouya, Lalla Zoubida découvre la lampe à pétrole, elle est éblouie de son pouvoir! Les enfants jouent de leurs instruments et les femmes les admirent et les encouragent. Le Msid : comparaison entre Sidi Mohamed et ses camarades de classe ( le petit enfant opte pour l’invisible, ses véritables amis sont des personnages imaginaires et les objets de sa boîte à merveilles. Il effectue un retour sur son passé, une espèce de rétrospection ( l’emploi des temps du récit) et ne parle que de sa vie ( l’emploi de la 1ère personne : Je; nous; ma ; mes ; notre…,), des moments et des événements qui l’ont marqué. Libellés : 1ere annee bac, bac, bac français, boîte à merveille, La boite à merveille résumé chapitre 2, resume, résumé chapitre 2, résumés de tous les chapitres « Precedant Suivant » … La petite fille qui aimait trop les allumettes de Gaétan Soucy est un roman qui traite du passage de l’enfance à la vie adulte à travers un parcours inusité et troublant. Un lundi, le père vient déjeuner à la maison, il annonce à la mère qu’il veut lui acheter les bracelets soleil et lune qu’elle désirait. Le lendemain Lalla Zoubida demande à Mâalam Abdeslam de lui acheter une. Une longue description de chemin vers le mausolée, des lieux à côté, puis de l’intérieur de ce lieu sacré, la scène des femmes qui demandent de l’aide à ce saint, avant de raconter leur dialogue avec la Moqadma et sa série d’invocation. Il décrit également la maison de Lalla Aïcha qui parait maintenant un lieu bien misérable. Il a consacré une bonne partie du livre à parler des voisins, des amis de la famille, Copyright © 2020 JeRéussirai.com | Tous droits réservés. Les deux amies frappées par le malheur, décident de consulter un voyant, Sidi Al Arafi. A la fin de cette visite, sidi Mohamed est griffé par un chat. Sidi Mohamed se sent encore une fois seul, écarté du monde des adultes, mais comprend que lui aussi a ses propres amis ( les occupants de sa boîte à merveilles). Oeuvres du régional : La boite à merveilles à l'examen du français 1ere bac : “La boîte à merveilles” est un roman autobiographique d’Ahmed Sefrioui, publié en 1954 et qui appartient à la littérature marocaine d’expression française. Ce dernier succombe à son désir et la lui achète. Jeudi suivant, pour remercier Dieu, Rahma organise un repas pour les pauvres. Pour un va et vient entre le narrateur adulte et le narrateur enfant, le lecteur entre dans son monde solitaire qui, malgré quelques timides amitiés, ne semble compter comme véritable ami que sa boîte à merveilles. Il passe la matinée à l’école coranique jusqu’à l’heure du déjeuner, le fqih, un maître sévère et sans pitié, lui fait signe de partir. Le nettoyage du Msid : le fqih distribue les travaux et forme des équipes. Remontant à son enfance, il décrit les différentes locataires de Dar Chouafa, le fqih du Msid et relate sa répulsion pour le bain maure. La disparition de Zineb au mausolée des Idrissides. Sidi Mohamed est nommé chef des frotteurs. Un inconnu vient de la campagne, il apporte des provisions, de l’argent et quelques nouvelles, c’est le messager de Si Abdeslam. Celle-ci annonce que son mari l’a abandonnée et s’est remarié avec la fille du coiffeur. Il s’agit d’une œuvre qui se lit à plusieurs niveaux, ponctuée çà et là de traces intertextuelles repérables, pour la plupart, à la deuxième lecture. Critique du fqih : un personnage sévère et autoritaire. L’enfant reçoit une nouvelle merveille, c’est une chaîne que sa mère lui avait donnée. Visite de Lalla Aicha : Lalla Zoubida souffre d’une terrible migraine + La pâleur de Sidi Mohamed. Lalla Aïcha vient rendre visite à la mère, et le soir, après son départ, le narrateur ouvre sa Boîte à Merveilles, mais il est trop fatigué pour se livrer à ses jeux. Aussitôt dans la rue, l’enfant repense aux propos du voyant, tout-à-coup il court se cacher dans les plis du haïk de sa mère, il a vu passer le fqih du msid. Les premiers jours de printemps : le narrateur et sa mère sont invités chez Lalla Aicha ( les deux femmes se livrent à leurs commérages). La Boîte à merveilles est un roman autobiographique de l'écrivain marocain Ahmed Sefrioui, publié en 1954. Enfin, les trois visiteurs quittent la chambre de Sidi El Arafi, accompagnés des vœux de cet homme saint. Rahma organise un repas pour les pauvres à l’occasion du retour de Zineb. En redescendant, il rencontre Rahma (à laquelle sa mère n’a adressé aucun mot depuis leur querelle à cause du linge) qui lui offre un cabochon, un nouveau bijou qu’il ajouterait aux objets de sa Boîte à Merveilles. La Boîte à Merveilles Résumé général. Hamoussa l’interrompt et lui demande de rejoindre ses camarades au Msid afin de participer à l’équipement des lustres. Le père se dispute avec le courtier rusé et disparaît dans la foule. Les premières lignes de l'œuvre nous présentent un narrateur adulte qui souffre d’un sentiment de solitude si intense qu’il ne dort pas le soir.
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